Les usages en termes de mobilité ont été bouleversés avec la crise Covid-19 : l’usage du vélo a explosé tandis que les transports collectifs peinent parfois à retrouver leur fréquentation d’avant-crise. On observe un certain report modal depuis les transports collectifs vers le vélo, tandis que les automobilistes restent dépendants à la voiture.
Dans ce contexte, AGIR propose une nouvelle formation de deux heures qui vise à accompagner l’essor rapide des mobilités actives sur les territoires, en veillant à l’articulation et à la cohérence entre des stratégies de mobilités, de transport public et d’urbanisme pour faire face à ces évolutions : partage des espaces et de la voirie entre les différents modes de déplacements, adaptation des aménagements, etc.
Comment organiser la synergie des modes pour créer une offre qualitative favorisant la baisse de la part modale de la voiture ?
- Les complémentarités entre le développement des modes actifs et celui des transports publics
- Le lien entre développement des transports publics, des modes actifs et l’urbanisation
- L’importance de l’intégration des modes actifs dans la réflexion autour d’un projet de transport collectif, notamment de transport en commun en site propre (TCSP)
- Description des grands principes de développement des modes actifs (marche et vélos) : mixité versus séparation
- Principes d’organisation ou de réorganisation de la voirie
- Etude de différents cas d’exemple en France et à l’international